L'avenir du futur

Plongée sur l'an 3000



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AVERTISSEMENT


Mon choix est totalement aléatoire et la chronologie dans l'Histoire n'est pas forcément respectée.

En effet, je choisis de raconter une vie selon mon impulsion du moment.

Autre petite précision: comme je fais de la voyance en lisant directement sur le passé, j'ai seulement installé mes fichiers audio.
Si vous souhaitez connaître la bibliographie des personnes dont je vous parle, je vous invite à lancer une requête sur votre moteur de recherche préféré...
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Comment vivrons nos arrières-arrières-arrières petits enfants?

J'ai tenté de voir ce qui peut arriver aux humains dans le futur
Vidéos sur mon compte "Toulousejoyce" sur Dailymotion
Heu... il y a plus de 10 vidéos à voir!
Soyez indulgent-es car je n'ai aucune capacité de montage en vidéo! Merci



Vous avez demandé Henri IV ?.... vous aurez l'an 3000!



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Cités spatiales en l'an 3000


 

Ma première "vue" sur l'avenir


Où l'on sait comment vivent les terriens de l'an 3000
Où ils sont connectés constamment sur le net avec un appareil sur l'oeil;

Question: j'ai enregistré la 1ere intervention le 11 septembre 2008; est-ce que en 2008, on parlait déjà des "lunettes google?"


Où l'on sait que chaque famille et chaque individu à son propre robot




Vos descendants de l'an 3000 par ToulouseJoyce



Stephen Hawking: "L'intelligence artificielle pourrait mettre fin à la race humaine"
ENCORE UNE FOIS: j'ai raison
L'astrophysicien britannique Stephen Hawking a averti que le développement de l'intelligence artificielle pourrait signifier la fin de l'humanité. Dans un entretien avec la BBC, le scientifique a déclaré que ce type de technologie pouvait évoluer rapidement et dépasser l'humanité, un scénario comparable à celui des films Terminator ou 2001, l'odyssée de l'espace, ou du roman Robopocalypse.
"Les humains seraient dépassés"
"Les formes primitives d'intelligence artificielle que nous avons déjà se sont montrées très utiles. Mais je pense que le développement d'une intelligence artificielle complète pourrait mettre fin à la race humaine", a affirmé le professeur dans cet entretien. "Une fois que les hommes auraient développé l'intelligence artificielle, celle-ci décollerait seule, et se redéfinirait de plus en plus vite", a-t-il déclaré.
"Les humains, limités par une lente évolution biologique, ne pourraient pas rivaliser et seraient dépassés", a poursuivi M. Hawking, considéré comme un des plus brillants scientifiques vivants.
Un des premiers à être "connecté" à Internet
Il reste en faveur des nouvelles technologies de communication et a déclaré avoir été un des premiers à être "connecté" aux débuts d'Internet. M. Hawking a déclaré qu'Internet avait apporté à la fois des dangers et des bénéfices, citant un avertissement du nouveau chef de l'agence d'espionnage électronique britannique GCHQ, selon lequel Internet était devenu un centre de commandement pour criminels et terroristes.
"Les entreprises d'internet doivent faire plus pour contrer la menace, mais la difficulté est de le faire sans sacrifier la liberté et la vie privée", a soutenu l'astrophysicien âgé de 72 ans.
Il a affirmé ne pas vouloir changer sa voix robotique
Atteint de la maladie de Charcot, autrement appelée sclérose latérale amyotrophique ou SLA, Stephen Hawking se déplace en fauteuil roulant et parle à l'aide d'un ordinateur. Il a annoncé mardi que son système de communication, amélioré par le groupe américain Intel, serait accessible gratuitement à la communauté scientifique en janvier 2015.
Tout en saluant les progrès, le scientifique a affirmé ne pas vouloir changer sa voix robotique, qui provient d'un synthétiseur conçu initialement pour un service d'annuaire téléphonique. "Cette voix était très claire bien qu'un peu robotique. Elle est devenue mon signe distinctif et je ne la changerais pas pour une voix plus naturelle avec un accent britannique", a-t-il dit à la BBC. "Apparemment les enfants qui ont besoin d'une voix synthétique en veulent une comme la mienne".
OUI, ALLEZ LIRE ET ECOUTER MES AVERTISSEMENTS


Où l'on apprends comment on travaille en 3000


Est-ce que nous aurons fait de la société planétaire


http://dai.ly/x9avi3



Les robots du futur



FUTUR EN DANGER


L'avenir avec le mariage pour tous

Une loi qui croit faire du bien à quelques personnes...

200 ans de massacres épouvantables sur la Terre

ou" Comment détruire les nations futures par idéologie sectaire"

LE MARIAGE POUR TOUS

AVERTISSEMENT


Je vous interdit de penser que je suis pro ou anti: ceci est la juste indication de ce qui va arriver... et d'ailleurs, j'ai indiqué, déjà il y a plusieurs mois, que j'avais "vu" des problèmes concernant les robots.
Lisez ci-après la note déjà mise en place sur mon blog Pause (aujourd'hui supprimé)

Que sera la France dans dix ans ?

Quelles grandes évolutions la France va-t-elle connaître d'ici 2025 sur les plans économique, démographique, social et sociétal ?
La France connaît actuellement une période charnière de son histoire entre un monde qui se meurt et le nouveau qui se cherche. La capacité de ce pays à s'adapter à ce changement déterminera grandement son avenir économique, démographique, social et sociétal. Le Commissariat général à la stratégie et à la prospective émet à ce titre son appréciation de la situation dont les grandes lignes sont reprises dans cette analyse.
Vieillissement de la population
La France sera tout d'abord plus vieille à l'horizon 2023. En effet, en dépit d'une démographie plus dynamique que celle de ses voisins européens, elle va connaître au cours de la prochaine décennie un vieillissement d'autant plus rapide que les générations du baby-boom finiront de sortir de la vie active. Par conséquent, cette évolution entraînera une vive remontée de la proportion d'inactifs dans la population totale via l'augmentation du nombre des retraités. En 2023, le taux de dépendance, c'est-à-dire le rapport du nombre d'inactifs (enfants et seniors) au nombre d'actifs, aura retrouvé son niveau des années 1960 mais cette fois ce seront les aînés qui se seront substitués aux enfants.
Le vieillissement de la population aura des conséquences inévitables. Tout d'abord, concernant les revenus, sans mesures capables de stimuler la croissance économique, ni report de l'âge légal de départ à la retraite et ni diminution des pensions de retraites, cela impliquera nécessairement une hausse très sensible des prélèvements (sur les actifs, les retraités et les entreprises). Ensuite, cette évolution représentera également un défi pour le système sanitaire. En effet, les besoins en personnel d'accompagnement seront importants et nécessiteront un développement qualitatif de l'offre de services adressée aux personnes âgées.
Baisse du poids économique dans le monde
La décennie passée a vu la France perdre progressivement de son importance au niveau mondial. En effet, la croissance française a été particulièrement faible au cours de la dernière décennie, en partie sous l'effet de la crise globale (financière, zone euro et dettes souveraines) mais également suite au ralentissement des gains de productivité, lui-même conséquence d'un moindre investissement et d'un freinage des processus permettant de stimuler la production des entreprises et la concurrence.
Néanmoins, la France dispose de réserves de croissance. En effet, la raison première est le niveau de son sous-emploi (chômage) et de la persistance de réglementations anti-concurrentielles dont la levée pourrait induire des gains de productivité substantiels. En outre, le manque passé de réformes structurelles bride le potentiel de croissance qui se situe probablement aux alentours de +1,5% par an. Dès lors, la suppression d'un certain nombre d'entraves pourrait permettre de stimuler cette croissance potentielle de 0,5 points et ainsi atteindre +2% par an.
Economiquement, la France pèsera sensiblement moins dans dix ans qu'il y a dix ans. En effet, un hypothétique redressement de la croissance économique conditionné à la mise en place de mesures aptes à stimuler l'activité économique permettrait certes de limiter la dégradation de la part de la France dans le PIB mondial, mais la diminution demeure inéluctable. La France devrait ainsi représenter en 2023 un peu moins de 3% du PIB mondial. Elle fera toujours partie des pays riches, mais son revenu réel par tête, autrement dit par habitant, s'élèvera à deux fois le revenu mondial moyen contre près de trois fois il y a dix ans (voir graphique ci-dessus). Son poids économique sera grosso modo celui de l'Espagne de 1980.
Parmi les nombreuses implications de cette évolution, plusieurs sont à souligner. Tout d'abord, la baisse tendancielle du poids économique relatif aura des conséquences évidentes dans le jeu des grandes puissances de ce monde. Ensuite, une taille relative plus faible implique une nécessaire spécialisation productive plus étroite et être capable de ne pas soutenir inutilement des activités appelées à disparaître car non compétitives : si la France des années 1980 était assez peu spécialisée, celle des années 2020 devra l'être davantage. Enfin, le développement du monde émergé et émergent va progressivement accroître sa concurrence sur les productions intensives en capital humain. Toutefois, il ne faut pas envisager ce phénomène comme un obstacle mais comme une opportunité d'acquérir de nouveaux clients et de bénéficier de nouvelles sources supplémentaires de pouvoir d'achat pour les consommateurs français.
Meilleure formation et équipement
Parallèlement, la France sera plus et mieux formée. En effet, avec la substitution de générations nouvelles bénéficiant d'un allongement de la durée moyenne de la scolarisation, la population active aura gagné en qualification moyenne du fait d'efforts poursuivis sur plusieurs décennies présentant un réel avantage vis-à-vis des pays émergents.
La France sera ensuite très bien équipée. En effet, en matière de stock d'équipements, la France est classée 5ème sur 144 pays pour la qualité de ses infrastructures (routes, chemins de fer, ports, transport aérien, télécoms…). En revanche, il convient de souligner que cet atout n'est certainement que temporaire au vu des efforts d'investissements permettant un rattrapage de la part des pays émergents. Mais dans l'ensemble, le niveau d'équipement restera un avantage important à l'horizon dix ans.
La France bénéficie d'autres atouts qu'il convient de pouvoir exprimer. En effet, la France peut être un pays remarquablement attractif pour les investissements étrangers. Si elle sait en jouer, sa situation géographique, ses infrastructures matérielles et techniques, la qualité des services publics, le cadre urbain et culturel, ainsi que son mode de vie en feront un territoire de choix pour l'implantation d'entreprises intensives en emplois qualifiés, conscientes que la qualité de vie de leurs employés est un facteur de productivité et de compétitivité. Toutefois, pour cela, il est fondamental que le cadre fiscal, le poids des réglementations et les lourdeurs administratives soient revus considérablement à la baisse, sans quoi ce potentiel demeurera largement sous-exploité.
Urbanisation
L'urbanisation du territoire français devrait se poursuivre. En effet, les grandes villes et aires métropolitaines sont des sources importantes de richesses, d'emplois et de gains de productivité grâce aux effets d'agglomération et à la concentration des facteurs de production et d'innovation. Elles sont attractives tant pour les activités économiques que pour la population. Les villes permettent par exemple les économies d'agglomération en concentrant les ressources humaines, les entreprises (industrie, commerce…), et les pôles de financement, d'information et de savoir. Elles attirent les jeunes et la main-d'œuvre hautement qualifiée grâce à l'offre culturelle et à leur réseau d'universités et de grandes écoles. Elles disposent également d'infrastructures et de réseaux de transports et télécommunications sophistiqués et attractifs.

Cependant, la nature de cette urbanisation a sensiblement évolué en dix ans, et pourrait continuer. En effet, en une décennie, la superficie de l'espace urbain a progressé de 19%, les villes françaises abritant désormais 77,5% de la population. Néanmoins, cet accroissement s'explique davantage par la périurbanisation que par la densification. Autrement dit, les villes se sont étendues plus qu'elles n'ont accru leur capacité d'accueil à superficie égale. Ainsi, l'étalement des villes est source de dégradation de l'environnement en raison de l'artificialisation des sols (réduction de la biodiversité, pollution des eaux…) et de la congestion des réseaux de transports. Socialement, il est source de dissociation entre les habitants des centres urbains, qui appartiennent souvent aux couches aisées qui vivent dans une forme " d'entre soi " protégé des maux du pays ; et les couches sociales paupérisées de la zone périurbaine, avec pour conséquence un fractionnement des comportements et des choix électoraux liés à un ressenti et un prisme de lecture différent des problèmes économiques, sociaux et sociétaux.

Mutation de la sphère du travail
La France va connaître des changements majeurs au cours de la prochaine décennie. Le pays connaît actuellement un niveau de chômage proche de ses records historiques. La réduction de ce niveau de chômage dans les dix années qui viennent dépendra de la capacité du pays à améliorer le fonctionnement de son marché du travail et plus largement de sa capacité à s'adapter à un environnement économique globalisé. Dans dix ans, cadres et professions intermédiaires représenteront plus de 40% des actifs, contre 35% en 2000 et 30% en 1990. Ainsi, en à peine plus d'une génération, la France va vivre une mutation sociologique très importante.
La montée en gamme des emplois ne sera pas uniforme. En effet, en France comme dans les autres économies avancées, la proportion des postes d'ouvriers et d'employés qualifiés sera probablement en baisse, tandis que la part des emplois les moins qualifiés devrait se maintenir, soutenue par la demande de services à la personne ou le secteur du tourisme. In fine, cette évolution tendra à induire une certaine polarisation des emplois en haut et en bas de l'échelle des qualifications. Il conviendra donc de faire des efforts pour empêcher que le dualisme de la demande de travail induise un dualisme social permanent et l'enfermement d'une partie de la population au travail dans des emplois instables et non qualifiés. Pour ce faire, il faudra revoir les politiques de revalorisation de l'emploi, de formation, d'accompagnement des transitions et de fluidification du marché du travail.

Autonomie accrue des individus
Les structures familiales vont évoluer. En effet, tous les indicateurs amènent à anticiper que la transformation à l'œuvre depuis 30 ans se poursuivra dans la décennie à venir : augmentation du nombre de divorces, des unions libres et des familles monoparentales. D'après les projections, la taille des ménages devrait continuer à diminuer pour passer de 2,6 personnes par ménage en 1990 à 2,1 en 2025, ce qui se traduira notamment par une hausse de la demande de logements, et posera la question du soutien aux populations fragilisées et paupérisées par cette évolution. Parallèlement, sur une longue période, la baisse de la pérennité des couples est une tendance lourde : en 1982, près de 85% des femmes de 40 ans vivaient en couple, elles ne seront que 64% en 2030. Dès lors, et malgré des structures familiales qui ne sont pas homogènes sur l'ensemble du territoire, le mouvement sociologique vers une société d'individus valorisant l'autonomie est appelé à se poursuivre. Dans ce cadre, cette société transformée attendra inévitablement une évolution de ses relations avec l'Etat et les institutions sociales: le paternalisme étatique évoluera vers un accès aux services publics qui sera vu comme un support à l'autonomie individuelle.
Analyse publiée sur "leconomiste.eu"



La guerre des machines: l'origine
... pour copier le titre de La planète des singes que j'ai vu hier soir avec ma fille.
J'ai vu ce matin aux petites aurores, un reportage sur France 24 qui montre que les Japonais ont réalisé un robot  disons un tronc qui, une fois habillé et maquillé (un masque) montre le visage d'un enfant d'environ deux ans.... la mimique est prodigieusement ressemblante.
Nous voici donc entrés dans l'origine de la guerre épouvantable qui va ravager, dans quelques décennies, la population mondiale. Je l'ai déjà évoqué dans une note récente.
Vous ne pouvez même pas imaginer ce que ces machines ressemblantes de l'homme, la femme ou l'enfant, ces machines vont causer comme destructions, morts et ravages dans les sociétés de la planète.
Après tant et tant de désastres avec leurs lots de meurtres, assassinats, rapines et dangers constants pour la vie de tout un chacun, entrainant des souffrances épouvantables étalées sur des années et des années, viendront ensuite l'apaisement.
Uniquement parce que nos descendants finiront par comprendre que la majorité des problèmes et des destructions proviendront de la ressemblance profonde entre les robots et les hommes qui les fabriquent.
Vous ne pouvez pas laisser faire cela! il faut, dès maintenant, monter des associations et regroupements pour obliger les labos et autres industriels à ne pas commencer la guerre des machines. Il faut dès maintenant les obliger à ne plus imiter l'image de l'homme mais laisser uniquement les robots ressembler à ce qu'ils sont des machines.
C'est votre devoir d'empêcher cela.
Vous ne pouvez pas laisser l'humanité courir à sa perte: des millions de gens vont être éradiqués à cause de cette fatale ressemblance avec les machines et leurs créateurs.
Ne confondez pas avec la série des fameux films ou feuilletons ou Arnold combat des robots liquides ... ce que j'écris n'est pas une plaisanterie.
Réfléchissez un instant.
Imaginez ce que vous pourriez faire ou faire faire à un robot qui vous ressemblerait... ou bien que vous choisiriez anonyme mais que vous pourriez programmer pour faire des choses... des tas de choses...
des tas de bonnes choses: faire votre repassage par exemple ou ramasser les mégots dans le jardin que vous jetez sans vergogne après avoir fumé... ou nettoyer la cuvette des W.C....
Mais aussi, vous pourriez peut-être le programmer pour faire...
des choses pas trop honnêtes ou attentatoire à la vie de votre chef, de votre ennemi, de ce vieil oncle à million qui ne veut pas crever pour vous laisser jouir de l'héritage...
laissez courir et déborder votre imagination...
et vous finirez par avoir peur...
car, cela pourrait arriver...
celui qui gêne et doit mourir ou être massacré, c'est peut-être vous.. vos enfants... votre mère... votre petite sœur...
C'est cela, la vie que vous voulez?
Notre avenir est entre nos mains.... et, il sera ce que nous en feront...
Ni plus, ni moins.
Parue le 23 août 2012

Trop puissantes les machines

lundi 2 février 2015, 16:53
Bill Gates s'inquiète du poids de l'intelligence artificielle
Un danger, l'intelligence artificielle ? Elon Musk, le fondateur du constructeur de voitures électriques Tesla Motors, mais aussi de PayPal et de SpaceX, pense qu'il pourrait s'agir de "notre plus grande menace", et même d'un "démon menaçant l'humanité"... S'il est moins alarmiste, Bill Gates aussi s'inquiète aussi des progrès de l'IA, comme il l'a confié lors d'une discussion organisée avec des internautes sur le site Reddit.
Trop puissante
"Quel pourrait selon vous être le poids de l'intelligence artificielle en tant que menace existentielle ?" lui demande un des lecteurs du site. "Je suis dans le camp de ceux qui se préoccupent de la super intelligence. Dans un premier temps, les machines vont exécuter beaucoup de tâches pour nous, et sans être "super intelligentes". Cela devrait être positif si nous gérons bien cette situation. Mais d'ici quelques décennies je pense que cette intelligence sera assez puissante pour devenir une vraie préoccupation", explique le fondateur de Microsoft.
D'accord avec Musk
"Je suis d'accord avec Elon Musk et quelques autres sur ce point, et je ne comprends pas pourquoi certaines personnes ne se sentent pas concernées", poursuit-il. L'intelligence artificielle, plus dangereuse que la bombe atomique, comme le pense Elon Musk ? D'après une étude du cabinet de conseil Roland Berger, les robots devraient déjà condamner trois millions d'emplois d'ici 2025...

La preuve qu'il faudra se méfier des robots "humains"

L'Homme est capable d'empathie et de sentiments envers les robots
Il n'y a pas que dans la série " Real Humans " que les Hommes s'attachent à des robots. Selon une étude allemande, l'être humain ressentirait facilement de l'empathie pour des robots, de la même façon qu'il ne le ferait pour d'autres Hommes.
Si l'on en croit une étude allemande, il serait tout à fait normal de ressentir des émotions face à des robots, le même type d'émotions que face à d'autres êtres humains. Voilà qui donne à la série " Real Humans "un air bien plus réaliste, puisque c'est l'un des thèmes de cette fiction suédoise qui cartonne sur Arte depuis plusieurs semaines.
C'est en montrant des vidéos de robots se faisant maltraiter à des participants que les chercheurs ont constaté que ces derniers ressentaient de l'empathie envers les robots qui subissaient de mauvais traitement. Cette empathie est moindre que dans le cas où un Homme se fait maltraiter, mais elle existe bel et bien. Par contre, l'empathie disparaît presque totalement lorsqu'il s'agit d'un objet inanimé.
Voilà une preuve que les robots sont loin de nous laisser indifférents, même si au fond il ne s'agit que de circuits et de moteurs.

http://www.terrafemina.com/forme/sante/articles/25112-lhomme-est-capable-dempathie-et-de-sentiments-envers-les-robots.html










Lisez "Ravages", de René Barjavel

Ravage par René Barjavel
Jacques Dufresne
Dans Ravage, l'un des classiques du roman de science fiction, le système tout électrique dans lequel l'humanité s'est enfermée implose subitement et entraîne dans son maelstrom des populations entières. La chose se passe en France. Seuls quelques attardés de l'ancienne société agricole parviennent à échapper à cette catastrophe et à rejoindre la terre nourricière dans un coin perdu du midi. L'auteur, René Barjavel, présente la morale de cette histoire en un court paragraphe à la fin du livre. Si ce livre a des faiblesses, ce paragraphe les rachète : Le héros du roman, devenu un patriarche, a présidé à la renaissance d'une société traditionnelle, en marge des ruines de la société électrique, en prenant soin d'éradiquer toute velléité de revenir en arrière... Jusqu'au jour où un forgeron venu d'un village éloigné se présente à lui aux commandes d'un engin rappelant les mastodontes du passé. Il est tout fier de présenter au maître vénéré une machine qui réduira la peine de ses frères, travailleurs de la terre.
" Insensé! crie le vieillard. Le cataclysme qui faillit faire périr le monde est-il déjà si lointain qu'un homme de ton âge ait pu en oublier la leçon? Ne sais-tu pas, ne vous l'ai-je pas appris à tous, que les hommes se perdirent justement parce qu'ils avaient voulu épargner leur peine? Ils avaient fabriqué mille et mille sortes de machines. Chacune d'elles remplaçait un de leurs gestes, un de leurs efforts. Elles travaillaient, marchaient, regardaient, écoutaient pour eux. Ils ne savaient plus se servir de leurs mains. Ils ne savaient plus faire effort, plus voir, plus entendre. Autour de leurs os, leur chair inutile avait fondu. Dans leurs cerveaux, toute la connaissance du monde se réduisait à la conduite de ces machines. Quand elles s'arrêtèrent, toutes à la fois, par la volonté du Ciel, les hommes se trouvèrent comme des huîtres arrachées à leurs coquilles, i l ne leur restait qu'à mourir...
— Père, père... répète l'homme éperdu.
—Tais-toi! Je ne te laisserai pas t'engager de nouveau, et tes frères derrière toi, sur cette route de malheur. Cette machine sera détruite. Hélas! i l faut que soit détruit aussi le cerveau qui l'a conçue."
"Elles travaillaient, marchaient, regardaient, écoutaient pour eux." Ce thème sera repris sur une base théorique solide par Ivan Illich notamment. Nous avons sous-traité tantôt directement à la machine, comme dans le cas du GPS, tantôt à des experts en médecine et en éducation, des tâches et des responsabilités qui assuraient le développement de certaines de nos facultés les plus précieuses. Nous avons ainsi appris à faire face par nous-mêmes au malheur et même à devenir meilleurs à son école. Aujourd'hui nous déléguons des cellules psychologiques auprès des gens frappés par le malheur. Le malheur n'est plus un événement tragique dans une vie intérieure apte à l'assumer, il est plutôt dans une vie extérieure sans histoire un accident mécanique qu'il faut traiter comme tel : de l'extérieur. Ce qui donne a posteriori raison à Bernanos "On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l'on n'admet pas d'abord qu'elle est une conspira­tion universelle contre toute espèce de vie intérieure." Et à Ansermet : "Sartre nous dit que Dieu est mort ; or le seul Dieu qui peut mourir n'est pas celui qui est au ciel, mais celui qui s'annonce au cœur de l'homme et dont la voix se confond avec nos aspirations éthiques, nos aspirations au Vrai, au Beau et au Bien. Autrement dit, ce qui est mort en réalité, chez beaucoup d'hommes d'aujourd'hui, c'est cette voix intérieure de l'homme qui est celle de l'éthique."


Lisez:  Le meilleur des mondes d'Aldoux Huxley

Et bien, nous n'y sommes-t-il pas, dans ce monde-là?
Depuis sa parution en 1932, on se sert de ce livre d'Aldous Huxley1 comme d'un épouvantail mais sans jamais réussir à éloigner les oiseaux de la mort dont il est l'annonciateur. Tout le monde s'accorde à reconnaître que ce meilleur des mondes c'est en réalité l'enfer, le paradis par erreur, mais chacun reste engagé dans les chemins qui y conduisent sans s'aviser que ces chemins convergent vers le même néant et sans avoir le pressentiment de la réalité dont ce néant le prive.
Huxley associe son meilleur des mondes à la Civilisation. Sans doute a-t-il souligné en lisant le Zarathoustra de Nietzsche ce passage où le dernier homme expose sa conception de la vie. " Nous avons trouvé le bonheur, dit-il, et il cligne de l'œil. Un peu de poison ici et là pour faire des rêves agréables, beaucoup de poison à la fin pour mourir agréablement ". Remplacez le mot poison par le mot soma et vous êtes au cœur du roman de Huxley.

Plus de père
La fécondation in vitro lui donnera bientôt raison.
Plus de mère
Le biologiste Haldane avait déjà prévu qu'un jour l'utérus artificiel libérerait la femme des douleurs de l'enfantement. Ces organes hors du corps s'appellent flacons dans le roman.
Plus d'amants
Ou plutôt que des amants; chaque homme et chaque femme ayant été conditionnés pour servir d'exutoire aux pulsions interchangeables des représentants interchangeables du sexe opposé (à noter au passage, il existe une certaine discrimination contre les homosexuels dans le meilleur des mondes). Quant au reste, il est difficile de nier que les mœurs évoluent depuis un siècle dans la direction de la sexualité libre et hygiénique du meilleur des mondes, libre signifiant dissocié non seulement de ce que Huxley appelle les passions violentes mais aussi de toute vie affective.
Plus de famille
Conséquence inévitable des tendances précédentes. Notre ''Freud'' a été le premier à révéler les dangers épouvantables de la vie de famille. " Le monde était plein de pères, et était par conséquent plein de misère; et de toutes espèces de perversions, depuis le sadisme jusqu'à la chasteté; plein de frères, de sœurs, d'oncles, de tantes – plein de folie et de suicide ".3
Plus d'intimité
L'intimité comme la pudeur perd son sens là où il n'y a plus de différence entre la vie intérieure et la vie extérieure. La vedette féminine du roman, une certaine Lenina, donne ses rendez-vous galants à haute voix dans les ascenseurs. Avant-goût de la téléréalité...
Planification et négation de la mort
Quand le Sauvage entre dans le meilleur des mondes, sa mère n'intéresse personne : elle est obèse, laide, malade et ne présente aucun trait exotique puisqu'elle est un rejeton indigne du pays de la Civilisation. On l'enferme dans une chambre d'hôpital aux parfums et aux musiques de paradis et la dose de soma qu'on lui prescrit est telle qu'elle mourra dans l'espace d'un mois. Le Sauvage est averti de la chose, il proteste, mais on ne lui donne pas le choix. Il prendra vraiment conscience de l'ignominie de son acte quand il sera dans le délai prévu appelé au chevet de sa mère et placé devant l'inéluctable sous le regard stupide d'un groupe d'enfants Delta en stage de conditionnement à la mort :
" Lorsqu'ils furent revenus à l'extrémité de la salle, Linda était morte. Le Sauvage resta un instant debout, figé dans le silence, puis tomba à genoux à côté du lit, et, se couvrant le visage de ses mains, sanglota éperdument. L'infirmière était dans l'irrésolution, regardant tantôt la forme agenouillée près du lit (quelle scandaleuse exhibition!) et tantôt (pauvres enfants !) les jumeaux qui avaient interrompu leur partie de zipfuret et regardaient, ébahis, vers l'autre bout de la salle, les yeux et les narines écarquillés, la scène scandaleuse qui se déroulait autour du lit n° 20. Fallait-il lui parler? Tâcher de le ramener au sentiment des convenances? Lui rappeler où il se trouvait? Quel tort fatal il risquait de causer à ces pauvres innocents! Détruire ainsi tout leur bon conditionnement à la mort par cette dégoûtante explosion de cris, comme si la mort était quelque chose de terrible, comme si quiconque avait une telle importance! Cela pourrait leur donner les idées les plus désastreuses sur la question, les bouleverser et les faire réagir d'une façon totalement erronée, complètement antisociale ". 4
Plus de vérité
" Cent répétitions, trois nuits par semaine, pendant quatre ans, songea Bernard Marx, qui était spécialiste en hypnopédie. Soixante douze mille quatre cents répétitions font une vérité. Quels idiots ".5
Plus d'attente, la satisfaction précède le désir
" Quelqu'un d'entre vous a-t-il été forcé de subir un long intervalle de temps, entre la conscience d'un désir et sa satisfaction? "
Plus de passé
— Vous vous souvenez tous, dit l'Administrateur, de sa voix forte et profonde, vous vous souvenez tous je le suppose, de cette belle parole inspirée de notre Ford : " L'histoire, c'est de la blague ".6 Dans un monde où l'ordre social repose sur le conditionnement on a intérêt à détruire les racines du passé qui renforcent l'identité et par suite la résistance à la propagande.
Plus de nature
" Les primevères et les paysages, fit-il observer, ont un défaut grave : ils sont gratuits. L'amour de la nature ne fournit de travail à nulle usine. On décida d'abolir l'amour de la nature, du moins parmi les basses classes; d'abolir l'amour de la nature, mais non point la tendance à consommer du transport. Car il était essentiel, bien entendu, qu'on continuât à aller à la campagne, même si l'on avait cela en horreur. Le problème consistait à trouver à la consommation du transport une raison économiquement mieux fondée qu'une simple affection pour les primevères et les paysages. Elle fut dûment découverte. — Nous conditionnons les masses à détester la campagne, dit le Directeur pour conclure, mais simultanément nous les conditionnons à raffoler de tous les sports en plein air. En même temps, nous faisons le nécessaire pour que tous les sports de plein air entraînent l'emploi d'appareils compliqués. De sorte qu'on consomme des articles manufacturés, aussi bien que du transport ".


Dans la seconde préface de son livre, celle de 1946, Huxley écrit: "À tout bien considérer il semble que l'Utopie soit plus proche de nous que quiconque ne l'eût pu imaginer, il y a seulement quinze ans. À cette époque je l'avais lancée à six cents ans dans l'avenir. Aujourd'hui il semble pratiquement possible que cette horreur puisse s'être abattue sur nous dans un délai d'un siècle".
Trente-quatre ans seulement nous sépare de 2046 (la fin du siècle évoquée par Huxley) mais si l'on doit croire Ray Kurzweil, ce sera suffisant pour assurer l'avènement de la post humanité. Selon Henri Atlan, le recours généralisé à l'utérus artificiel sera l'un des événements charnières. Il y a quelques années, ce dernier annonçait que le prototype pourrait être achevé dans cinq ans. La croissance des ventes des antidépresseurs et du ritalin chez les jeunes incite à penser que si une drogue comme le soma était mise en mrché, demain elle entrerait vite dans les mœurs de la majorité.
La grande erreur de Huxley aura été de lier les changements dans l'homme (la révolution véritablement révolutionnaire, selon les mots qu'il emprunte au marquis de Sade), à un régime totalitaire, alors que c'est en contexte libéral que ses prédictions étaient appelées à se réaliser.
La chose est apparue clairement à l'occasion du débat, au début de la décennie 1980, sur la fécondation in vitro . On entrait par là dans une nouvelle vague d'eugénisme, mais si certains ont pu croire qu'il suffirait d'évoquer l'expérience nazie pour mettre fin à ce mouvement, ils ont vite compris leur erreur. Ils ont constaté que ce que les gens rejetaient dans cette expérience c'était le totalitarisme et non l'eugénisme, lequel devenait légitime dès lors qu'il se présentait comme le résultat d'un choix individuel libre. Dans le même contexte, il est devenu tout aussi clair que ce qui inspirait de l'horreur dans le Meilleur des mondes ce n'étaient ni le soma, ni la disparition de la famille, ni même le conditionnement mais le régime totalitaire.
Il se pourrait que notre libéralisme n'ait été aux yeux de Huxley qu'une apparence destinée à masquer les opérations de publicité/propagande ayant pour but de faire aimer aux gens leur propre servitude. La liberté la plus courante, qui se réduit au choix, ressemble étonnamment à celle des citoyens du Meilleur des mondes : choisir un nouveau partenaire sexuel chaque jour, aller en voyage où l'on veut, avoir l'embarras du choix des spectacles à voir, partir en congé de soma quand bon vous semble.
La liberté réduite à cette caricature inspirait certes de l'horreur à Huxley, mais en la plaçant dans un contexte totalitaire peu vraisemblable, et en exagérant la puissance du conditionnement, autre faiblesse de son livre, il détournait l'attention du lecteur de l'essentiel, une liberté réduite au choix, pour la tourner vers l'autorité excessive de l'Administrateur et le système de caste dont il assure la stabilité.
La liberté réduite au choix c'est celle que Descartes appelle liberté d'indifférence, le plus bas degré de liberté à ses yeux. À cette liberté d'indifférence Descartes oppose la liberté de perfection laquelle repose sur la connaissance, laquelle suppose la conscience. Dans le roman de Huxley, c'est le Sauvage qui l'incarne et la défend : " Je viens vous apporter la liberté, dit-il aux jumeaux bêtas, au moment précis où il interrompt une distribution de soma et entreprend de jeter par la fenêtre des boîtes complètes de comprimés, en criant : c'est du poison, du poison pour l'âme et pour le corps ".
Hélas! le personnage du Sauvage manque à la fois de cohérence, de vraisemblance et de santé, de santé de l'esprit d'abord. Il a été marqué dans son enfance par les pratiques d'une secte, les Penitentes, qui sont convaincues qu'on ne peut obtenir le pardon de ses fautes que par l'auto flagellation. C'est par une telle séance que le Sauvage met fin à ses jours et au roman, une action bien peu faite pour séduire les citoyens du meilleur des mondes dont Huxley résume ainsi la philosophie : " Mais la civilisation industrielle n'est possible que lorsqu'il n'y a pas de renoncement. La jouissance jusqu'aux limites extrêmes que lui imposent l'hygiène et les lois économiques. Sans quoi les rouages cessent de tourner ".
C'est là, Huxley l'a lui-même reconnu dans la préface de l'édition de 1946, le défaut le plus sérieux du récit : on n'offre au lecteur qu'une seule alternative : une vie démente en Utopie ou la vie d'un primitif dans un village d'Indiens.
" Si je devais récrire maintenant ce livre, j'offrirais au Sauvage une troisième possibilité. Entre les solutions utopienne et primitive de son dilemme, il y aurait la possibilité d'une existence saine d'esprit — possibilité déjà actualisée, dans une certaine mesure, chez une communauté d'exilés et de réfugiés qui auraient quitté le meilleur des mondes et vivraient à l'intérieur des limites d'une Réserve. Dans cette communauté, l'économie serait décentraliste, à la Henry George, la politique serait kropotkinesque et coopérative. La science et la technologie seraient utilisées comme si, tel le Repos Dominical, elles avaient été faites pour l'homme, et non (comme il en est à présent, et comme il en sera encore davantage dans le meilleur des mondes) comme si l'homme devait être adapté et asservi à elles. La religion serait la poursuite consciente et intelligente de la Fin Dernière de l'homme, la connaissance unitive du Tao ou Logos immanent, de la Divinité ou Brahman transcendante. Et la philosophie dominante de la vie serait une espèce d'Utilitarisme Supérieur, dans lequel le principe du Bonheur Maximum serait subordonné au principe de la Fin Dernière. "11
Notes
1-Aldoux Huxley, Le meilleur des mondes,  Le livre de poche, Paris, 1970.
2-Op.cit. p.370
3-Op.cit. p.83
4-Op.cit. p,346
5-Op.cit. p.96
6-Op.cit. p.76
7-Op.cit. p.59
8-Op.cit. p.23
9-Op.cit. p.355
10-Op.cit. p.397
8-Op.cit. p.11
Dernière modification:
2012-12-07Extrait
Dans la seconde préface de son livre, celle de 1946, Huxley écrit : " À tout bien considérer il semble que l'Utopie soit plus proche de nous que quiconque ne l'eût pu imaginer, il y a seulement quinze ans. À cette époque je l'avais lancée à six cents ans dans l'avenir. Aujourd'hui il semble pratiquement possible que cette horreur puisse s'être abattue sur nous dans un délai d'un siècle ". 8
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